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PAROLES, BALIVERNES et autres stupidités
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democratie
26 mars 2012

Nouveaux électeurs de Mélenchon

« Nous avons à lutter contre les vieux ennemis de la paix -le business et les monopoles financiers, la spéculation, les banques déchaînées [...]. Ceux-là ont commencé à faire du gouvernement des États-Unis une simple dépendance de leurs affaires [...]. Jamais dans notre histoire ces forces n'ont été liguées comme aujourd'hui contre un candidat. Elles sont unanimes dans la haine qu'elle ne porte - et j'accueille cette haine avec plaisir. »
 Franklin Roosevelt, Madison Square Garden, 1936 - Campagne pour sa réélection

« La liberté dans une démocratie n'est pas assurée si le peuple tolère que la puissance privée grandisse au point qu'elle devienne plus forte que l'État démocratique lui-même, ce qui fondamentalement est le fascisme. »
 Franklin Roosevelt, président des États-Unis d'Amérique, avril 1938.

« Faites maintenant des lois contre la misère. Je dis que la société doit dépenser toute sa force, toute l'intelligence pour que de telles choses ne soient plus. »
Victor Hugo à la tribune de l'Assemblée Nationale le 9 juillet 1849

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19 mars 2012

Stratégies de manipulation

Les dix stratégies de manipulation
http://www.pressenza.com/npermalink/les-dix-strategies-de-manipulation-de-masses

1/ La stratégie de la distraction
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

2/ Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

3/ La stratégie de la dégradation
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles (néolibéralisme) ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n’assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.

4/ La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme « douloureuse mais nécessaire », en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que « tout ira mieux demain » et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? « Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d’une personne de 12 ans ». Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

6/ Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements…

7/ Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. « La qualité de l’éducation donnée aux classes inférieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fossé de l’ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »

8/ Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver « cool » le fait d’être bête, vulgaire, et inculte…

9/ Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…

10/ Connaître les individus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le « système » est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.


 

 

19 mars 2012

Grand Prix "Georges Frèche"

Georges Frêche : « Moi, je n’ai pas de mémoire, c’est pour ça que je mets les chiffres qui me viennent à l’idée. »
Son directeur de cabinet : « Il faut mentir, sortir des chiffres avec de l’aplomb, dire que vous avez fait le double, etc. C’est ça qui compte, c’est l’essentiel. En période électorale, n’importe quoi peut se dire et peut être accrédité de la même manière, alors même que c’est faux. »
Film "Le Président" de Yves Jeuland

 

et le prix 2012 est attribué à ... Nicolas Sarkozy pour l'ensemble de ses promesses et propositions pendant la campagne de l'élection présidentielle !

16 mars 2012

Désastre industriel en France

Après les couturières de Lejaby, la raffinerie de Petroplus et les ouvriers de Photowatt, les métallurgistes de Florange (Moselle) sont devenus le sinistre social prioritaire à l'agenda du candidat-président.
http://www.huffingtonpost.fr/2012/03/01/florange-sarkozy-promesse

On ne peut pas faire une politique industrielle durable à partir de coups médiatiques, d'annonces-choc, de copinage avec quelques grands patrons proches du pouvoir ou des promesses électorales.
Il faut voir la réalité des ouvriers, des employés et penser conditions de vie, conditions de travail, pouvoir d'achat, égalité des droits et des devoirs, transparence de la vie publique, répartition des richesses...

15 mars 2012

"Aidez-moi !"

"Aidez-moi !"
Nicolas Sarkozy, président-candidat - 11 mars 2012

sachez monsieur le président-candidat, que les élus d'une démocratie doivent défendre la liberté et la volonté du peuple et qu'ils ont, avant tout, des devoirs envers le peuple , et non l'inverse !

 

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15 mars 2012

allez, on fait amis-amis ?

la Colombie secrète de Thierry Gaubert

Thierry Gaubert, né le 14 mai 1951 dans le 16e arrondissement de Paris, est un spécialiste de la communication. Il fut collaborateur de Nicolas Sarkozy à la mairie de Neuilly-sur-Seine puis au ministère du Budget dans les années 1990. Il occupe en 2011 le poste directeur des relations publiques du président du groupe bancaire BPCE1.(http://fr.wikipedia.org/wiki/Thierry_Gaubert)

(http://www.mediapart.fr/journal/france/021211/dassault-takieddine-juniac-gaubert-lalbum-photos-du-clan-presidentiel-en-colom)

Un visiteur de marque, Ziad Takieddine, qui viendra deux fois, est aperçu sur l'un des clichés, ici en décembre 2002.
A l'époque de cette photo, le marchand d'armes, qui a contribué àl'enrichissement de M. Gaubert, est devenu l'un des rouages du clan Sarkozy autour des marchés du ministère de l'intérieur. M. Takieddine invite lui-même beaucoup dans sa propriété du cap d'Antibes, le premier cercle du futur chef de l'Etat : outre M. Gaubert, ses amis Dominique Desseigne (patron du Fouquet's), Brice Hortefeux, Pierre Charon et Jean-François Copé.

En 2002, pour les fêtes de Noël, la finca Cactus attend un autre homme clé de ce réseau politique : Olivier Dassault, fils du célèbre avionneur, député UMP de l'Oise et administrateur de la Socpresse, la société éditrice du quotidien Le Figaro. Lors d'une randonnée, Takieddine et Dassault prennent la pose autour de Thierry Gaubert.

Comme Mediapart l'a déjà raconté, photos à l'appui, Etienne Mougeotte, le directeur des rédactions du Figaro, alors vice-président de TF1, avait été lui aussi plusieurs fois l'invité de M. Takieddine à des dîners organisés dans sa résidence parisienne, aux côtés de Charles Villeneuve, l'ancien animateur et producteur du Droit de savoir.

Malgré ses liens, M. Mougeotte avait défendu « l'objectivité » du traitement – autant dire l'absence de suivi... – de l'affaire Takieddine dans les colonnes de son quotidien.

La famille des propriétaires du Figaro a d'ailleurs déjà frayé avec Takieddine. Fréquemment invité à ses dîners, Thierry Dassault, le frère d'Olivier, patron de la branche «multimédia» de l'empire familial, avait investi dans la société Gemplus aux côtés du marchand d'armes. « Olivier Dassault, c'est un très bon ami, explique Thierry Gaubert. Il est venu avec sa femme et son fils, et je n'ai jamais fait d'affaires avec lui. »

15 mars 2012

leur meilleur ami

 

Copé , Hortefeux et leur ami, le marchand d'armes Takieddine .

   

Jean François Copé n'a pas trouvé d'algues vertes dans la piscine de Ziad Takieddine !

11.08.2011  (http://laplote.blogs.courrierinternational.com/tag/takieddine)

 

15 mars 2012

Asservir une nation

« Il y a deux manières de conquérir et asservir une nation. L'une par l'épée. L'autre par la dette. »
John Adams 1735-1826 .
Il fut le premier vice-président des États-Unis (1789-1797), puis le deuxième président des États-Unis (1797-1801)

15 mars 2012

Marine Sarkozy et Nicolas le Pen ?

M. Copé a accusé ces «quelques députés européens de gauche et d'extrême gauche qui ont insulté le président de la République au Parlement européen, avec à leur tête d'ailleurs M. Verhofstadt»

Le Belge répond : «Quant au propos de M. Copé me rangeant à gauche, voire à l'extrême gauche, il doit savoir que je suis ancien Premier ministre belge libéral, chef du groupe parlementaire libéral et démocrate au Parlement européen. Dans le libéralisme, M. Copé aime peut-être la version Takieddine. Moi, j'aime plutôt la version libérale soucieuse des libertés publiques.»

pour rappel:


M. Copé dans la propriété de M. Takieddine, au Cap d'Antibes, en août 2003.© Mediapart

 Après avoir publié une première série de photographies et de documents montrant l'étendue des liens de M. Takieddine avec les proches de Nicolas Sarkozy (Brice Hortefeux, Thierry Gaubert, Pierre Charon, Jean-François Copé, Dominique Desseigne...), Mediapart a obtenu la copie d'un petit album photo d'une soirée organisée chez lui le 20 juin 2002. ( http://www.mediapart.fr/search/apachesolr_search)

 

15 mars 2012

élections 1995 et 2007

« je veux une république irréprochable. »
Nicolas Sarkozy-mai 2007

 nous aimerions aussi une justice complètement indépendante qui puisse mener des enquêtes approfondies sur les campagnes présidentielles d'Édouard Balladur en 1995 et de Nicolas Sarkozy en 2007.

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