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PAROLES, BALIVERNES et autres stupidités
PAROLES, BALIVERNES et autres stupidités
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16 février 2012

"Je veux être le président de l’augmentation du

"Je veux être le président de l’augmentation du pouvoir d’achat."
Nicolas Sarkozy, congrès de l’UMP, janvier 2007.

Résultat : 337.000 pauvres en plus .
"Depuis 2007, près de 337.000 personnes supplémentaires sont passées sous le seuil de pauvreté – 954 euros par mois en 2009 – selon l’Insee, soit 8,2 millions de Français.
Dans un récent entretien au Monde, François Fillon affirmait de son côté que "le pouvoir d’achat avait progressé de plus de 6% depuis 2007". En réalité, le pouvoir d'achat n'a augmenté que 2% par ménage sur cette période, et devrait baisser en 2012, selon l'Insee.
Mentionnons l'augmentation de 172% du salaire du chef de l'Etat, décidée au début du quinquennat de Nicolas Sarkozy.

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17 février 2012

"Il y a une idée centrale dans mon projet, c'est

"Il y a une idée centrale dans mon projet, c'est redonner la parole au peuple français par le référendum"
Nicolas sarkozy, le 15 février sur TF1

notre bon président ne doit pas s'arrêter à l'assurance-chômage et aux droits des étrangers mais aussi nous consulter sur la TVA (a)sociale, les Traités européens, les inégalités qui se creusent, le système des retraites, les services publics à développer, les connivences entre politiques-grands patrons-médias, la transparence et la corruption en démocratie ou l'indépendance de la justice !

16 février 2012

Sarkozy sur Woerth : «J’ai pas envie de parler de

Sarkozy sur Woerth : «J’ai pas envie de parler de ça »

 ; En déplacement à Annecy, le candidat UMP apprécie visiblement peu d'être interrogé sur la mise en examen de son trésorier pour la campagne de 2007
parlons alors de Takieddine ou Gaubert ou Balladur ou Bazire ...: il y a le choix M. le président !
8 mars 2012

en manque de réponses

" [...] Peut-on sérieusement imaginer qu’à l’issue d’un quinquennat marqué par des scandales à répétition, pas une question, pas une seule n’ait été posée au président sortant ?
Les 403 millions d’euros versés par l’Etat à Bernard Tapie et qui font l’objet d’une enquête de la Cour de justice de la République ?
L’espionnage de journalistes, sur ordre de l’Elysée, et qui a provoqué la mise en examen du procureur de Nanterre et du numéro 1 des services de renseignements ?
La double mise en examen d’Eric Woerth, ancien ministre, ancien trésorier de l’UMP, et dont Nicolas Sarkozy s’était porté garant en juillet 2010, au plus fort de la tempête Bettencourt ?
L’affaire de Karachi, l’affaire Takieddine, l’affaire libyenne…

[L'inculpation d'un juge, ami du président]

Est-ce prendre pour des imbéciles amnésiques les millions de téléspectateurs que de considérer que ces affaires qui portent au cœur du pouvoir de cette présidence les questions les plus lourdes (corruption, abus de pouvoir, enrichissement personnel, financement illégal) ne méritent pas même une interrogation ?
Si le journalisme en sort un peu plus abîmé encore, Nicolas Sarkozy ne gagne rien à ces silences.
Ainsi est mis en scène ce confortable entre-soi, discussions bornées dans un champ politique volontairement restreint à deux-trois thèmes, et continuant obstinément à repousser et ignorer tout ce qui alimente aujourd’hui la crise de la politique.[...]

17 avril 2012

Égalité de temps de parole


" Selon la recommandation du CSA du 30 novembre 2011, les candidats à la présidentielle bénéficient d'un temps de parole égal et d'un temps d'antenne équitable du 20 mars au 9 avril, puis d'un temps de parole et d'un temps d'antenne égaux du 9 avril au 6 mai.

...nos journaux, jouent un rôle évident de service public et n'envoient pas chaque semaine leurs relevés de compte ! Cela n'empêche pas nos rédactions, par le seul respect de nos métiers et de nos publics, d'observer un strict respect de l'équité démocratique."
 [http://www.sdllemonde.fr/node/245 ]

quelques commentaires :

- le vocabulaire employé permet de noyer le poisson : temps de parole / temps d'antenne - égalité  / équité.

- ce genre d'article ne peut être écrit que par des journalistes  . En effet, cela veut dire que la presse doit se réguler par elle-même. Cela rappelle à tous La fameuse formule " le marché se régulera par lui-même ». Ce qui ne manque pas de nous interroger sur le devenir des futurs médias.

"Les règles du CSA sont inapplicables ! Obsolète égalité du temps de parole."

- évidemment, il est plus facile d'accepter et de traduire dans les journaux le matraquage de certains partis, sans se poser la question de l'importance et de la profondeur des interventions politiques et ainsi « oublier » de donner une place égale - en temps et aux mêmes heures - pour ceux qui veulent contester ou proposer un autre choix.

- Nous affirmons qu'après 5 ans de l'omniprésence sur tous les médias du président et de son parti, nous sommes soulagés d'avoir la possibilité de nous informer grâce à la stricte Égalité de temps de parole et de temps d'antenne du 9 avril au 6 mai ! Un mois pour cinq ans, que le peuple s'informe !

Et quand nous disons stricte égalité, nous ne prenons pas en compte la façon très différente que certains journalistes ont de  poser leurs questions  - dans le fond et dans la forme.

Nous sommes pour la stricte égalité de parole dans les médias toute l'année ! Cela permettrait à ces pauvres journalistes qui se plaignent de ne pas changer leurs habitudes à l'approche d'une élection...



 

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25 avril 2012

Débat, débats ou pas de débat ?


Alain Duhamel avait lancé le débat sur les débats ; voilà au moins un journaliste qui a des choses à dire et des reportages de fond à proposer !
Nicolas Sarkozy est un vieux routier de la question : très hésitant pour en accepter un en 2007, il en voulait 1 puis 2 puis 3 en 2012. Cherchons la logique !
Hollande en veut 1 par "tradition républicaine".

et nous, qui sommes la base du peuple français, on s'en fiche ! Nous n'en voulons aucun de ces combats de petits coqs pendant lesquels le mensonge, la provocation et la fourberie tiennent le devant de la scène .


 

4 mars 2012

Idéologie européenne à l'oeuvre

Un véritable boycott contre François Hollande. D'après les informations du " Spiegel" à paraître lundi 5 mars, la chancelière allemande Angela Merkel (CDU) et ses principaux partenaires européens se sont entendus pour ne pas recevoir le candidat socialiste à la présidentielle française.
Cet accord secret entre Merkel, le Premier ministre italien Mario Monti et le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy a été rejoint par le Premier ministre britannique David Cameron, toujours selon le "Spiegel". Tous se seraient "engagés verbalement" à ne pas recevoir le candidat socialiste.

Ces chefs de gouvernement libéraux qui ne savent qu'imposer de l'austérité à leurs concitoyens , sont-ils les plus qualifiés pour nous faire apprécier les valeurs de la démocratie à l'occidentale ? Mais veulent-ils répondre favorablement à celui qui leur a dit à Bruxelles , à l'issue du conseil européen des 1° et 2 mars : « la seule façon que vous ayez pour continuer à m'entendre, c'est de me réélire. »
Peut-être, plus prosaïquement, c'est leur volonté de rester entre eux pour porter de mauvais coups aux peuples européens !
Rappel: La chancelière allemande avait annoncé le 6 mai son soutien actif à Nicolas Sarkozy, candidat à sa réélection. "Je soutiens Nicolas Sarkozy sur tous les plans car nous appartenons à des partis amis", avait-elle déclaré. Idéologie, vous dis-je !

 

23 février 2012

« j'ai été traité de voyou » par l'hebdomadaire

« j'ai été traité de voyou » par l'hebdomadaire Marianne, « on m'a comparé avec M. Madoff », a-t-il rappelé. Quant à François Hollande, il « a parlé de moi en disant sale mec »  sans citer nommément le candidat PS.

Soyons complet, le président de la République Française a apostrophé un simple citoyen en disant " casse-toi,pauvre con!" ou s'est mis en colère contre des pêcheurs bretons qui lui demandaient " du concret, du concret !".
Voici un président qui sait s'élever au-dessus des querelles partisanes !

16 février 2012

"Il y a une idée centrale dans mon projet, c'est

"Il y a une idée centrale dans mon projet, c'est redonner la parole au peuple français par le référendum"
Nicolas sarkozy, mercredi 15 février 2012, sur TF1, en annonçant qu'il briguait un second mandat.

Promettant de généraliser la pratique, qui consiste à "faire trancher" par le peuple français "les grands arbitrages (...) chaque fois qu'il y aura un blocage", s'il était réélu, le président candidat avait annoncé dans de son interview au Figaro magazine son intention de soumettre l'assuranc-chômage à référendum et éventuellement de recourir à ce type de consultation sur le droit des étrangers.

le vent a tourné entraînant la girouette avec lui...

Nicolas Sarkozy avait critiqué la décision du chef de l'Etat d'organiser un référendum sur le traité constitutionnel européen, en mai 2005. "Je ne suis pas persuadé que faire voter ou adopter par référendum une Constitution de plusieurs centaines d'articles soit la formule la plus adaptée"

"Croyez-vous que, si je suis élu, je vais aussitôt dire aux Français : 'Excusez-moi, j'ai besoin de vous demander votre avis sur un autre sujet ?", demandait-il aussi pendant la campagne présidentielle, en mars 2007, dans une interview à l'Express pour théoriserson opposition au référendum.
Le candidat UMP voulait alors s'opposer au concept de démocratie participative, prôné alors par sa principale adversaire, la candidate socialiste Ségolène Royal. "La démocratie participative, c'est la fin de toute volonté politique, c'est la fin de la politique qui prend ses responsabilités (...) c'est la fin de la démocratie représentative dans le soupçon généralisé (...) et la forme ultime de la démagogie", déclarait-il fin mars 2007, lors d'un meeting dans l'Essonne.

"Je ne comprends pas que l'on puisse être candidat en ayant chevillée au corps l'idée que la politique ne peut plus rien et en ayant comme idéal la démocratie d'opinion, parce que la démocratie d'opinion c'est l'ultime renoncement de la politique", avait-il encore fait valoir lors de son discours à la Mutualité, le 11 février 2007.

La victoire du "non" lors de cette consultation n'avait pas été prise en compte par Nicolas Sarkozy, qui, une fois élu président, avait fait adopter le traité de Lisbonne trois ans après... par le Parlement français, après une révision de la Constitutionnécessaire à la ratification ce traité européen. Au grand dam de l'opposition, qui avait fustigé un déni de démocratie.

Sur le plan européen, Nicolas Sarkozy s'était également montré consterné par l'annonce de référendum faite par le premier ministre grec, Georges Papandréou, fin octobre. Ce dernier entendait organiser cette consultation sur le plan européen de sauvetage de son pays, élaboré une semaine avant à Bruxelles. Cette annonce surprise avait ravivé à l'Elysée les craintes d'une faillite de la Grèce et d'un éclatement de la zone euro. "Donner la parole au peuple est toujours légitime mais la solidarité de tous les pays de la zone euro ne saurait s'exercer sans que chacun consente aux efforts nécessaires", avait alors fait valoir le président français, avant que M. papandréourenonce à son projet trois jours plus tard.

La frilosité de M. Sarkozy à l'égard du référendum ces dernières années s'explique peut-être par la mauvaise expérience qu'il a connue avec cet outil en 2003, quand il avait essuyé un échec sur le référendum corse, une consultation locale qui prévoyait la fusion des deux départements de l'île.
Sur ce sujet, le président Jacques Chirac s'était assez peu exprimé, laissant le ministre de l'intérieur Sarkozy en première ligne. La victoire du "non" avait alors été perçue comme le premier revers politique de M. Sarkozy à l'intérieur :

14 février 2012

"La" bombe atomique de Boutin ! "Si malgré mes

"La" bombe atomique de Boutin !

"Si malgré mes efforts, je ne les obtiens pas [ les 500 signatures pour se présenter à l'élection présidentielle ], j’utiliserai une bombe atomique durant ma campagne pour déverrouiller la démocratie."
Boutin et l'affaire de la "bombe atomique" (début décembre 2011)

 "Il y a d'autres candidats qui pourraient avoir mon soutien." Interrogé sur le nom du candidat en question, Christine Boutin évite de répondre frontalement. "François Bayrou, c'est possible, oui."
( début janvier 2012) si elle ne peut pas se présenter elle-même, Christine Boutin pourrait ne pas soutenir le président sortant.

 

 Présidentielle : Christine Boutin jette l'éponge et se rallie à Nicolas Sarkozy
"Je veux être avec lui pour faire gagner la France", déclare-t-elle.
( 13 février 2012)

incohérences et déclarations de matamore...Une seule solution ; boutons-les hors de notre vue de citoyens !

 

 

22 juin 2012

et pour terminer .


UMP : massacres à la tronçonneuse

       Pendant des années, puis pendant toute une campagne, Roselyne Bachelot et Marc-Philippe Daubresse appartenaient à la majorité et au gouvernement. On les savait modérés, l’une plutôt chiraquienne, et l’autre centriste, les initiés n’ignoraient pas qu’ils n’approuvaient pas tout, mais de là à se montrer plus critiques que le billet du matin sur France Culture il y avait quand même un pas. 

       Or, dans « un quinquennat si tranquille », publié chez Archipel, Daubresse recense les causes de la défaite de Nicolas Sarkozy, dont il loue la stature, mais il dénonce : l’humiliation des chiraquiens, des nominations incohérentes, la précipitation, la droitisation de l’UMP, et il éreinte François Fillon, qui « courbe l’échine pour durer », qui ne joue pas son rôle, qui n’anime pas l’équipe gouvernementale et ne s’appuie que sur une poignée d’affidés dont Roselyne Bachelot, Fillon qui utiliserait, c’est écrit noir sur blanc dans ce texte, des méthodes dignes de la Reine Margot, qui maniait les poisons. Lui ce serait « le poison moral »

       Deuxième livre, publié chez Flammarion par l’une des affidées présumées, Mme Bachelot : Il est intitulé « A feu et à sang », sans doute parce que « massacre à la tronçonneuse » était déjà utilisé… L’auteur raconte une réunion du 14 mars 2012, Nicolas Sarkozy reçoit les parlementaires, et elle note que « l’inclinaison droitière de ses analyses politiques » hérisse Bruno Le Maire inquiet et pessimiste, ou Nathalie Kociusko Morizet qui s’écriera une peu plus tard au QG de campagne : « Marre de Patrick Buisson ! »

       Elle décrit le président sortant comme « un étranger qu’elle ne reconnaît plus, qui n’écoute que lui même et ses conseillers ultraconservateurs, obsessionnellement soucieux de tout maîtriser, jusqu’à transformer ses visites prétendument de terrain en simulacres de rencontres aseptisées qui le rassurent et qu’il trouve formidables et bien huilées ».

       Fin de citation, n’en jetez plus.

       Mais pourquoi ont-ils donc attendu que ces faits appartiennent au passé pour les décrire au présent ? Pourquoi cette soudaine crise de valeurs, qui monte après la bataille

       Tout cela a été dit et écrit dix mille fois, dans dix mille publications et cent mille reportages, parce que cela sautait aux yeux, et que certains ministres, certains conseillers, certains députés, le confiait aux journalistes, mais en off. Surtout répétez le, mais ne dites pas que je vous l’ai dit.

       Pour le reste, c’était silence dans les rangs. La solidarité gouvernementale sans doute. Et il faudrait avoir mauvais esprit pour songer que ce mutisme ressemble à une omerta, et cette parole retrouvée à l’aveu des repentis…"

1 avril 2012

Affaire Bettencourt


Sarkozy? Bettencourt? Louison ( Le Nouvel Observateur ) trouve que ce vendredi ressemble furieusement au lundi. Heureusement que le week-end arrive.


 

3 avril 2012

Président du peuple



 

 

15 mars 2012

leur meilleur ami

 

Copé , Hortefeux et leur ami, le marchand d'armes Takieddine .

   

Jean François Copé n'a pas trouvé d'algues vertes dans la piscine de Ziad Takieddine !

11.08.2011  (http://laplote.blogs.courrierinternational.com/tag/takieddine)

 

19 avril 2012

Les rats et le navire

KROLL
caricature de Kroll dans " le Soir " de Bruxelles


 

5 avril 2012

Détournement d'argent ( livres à étudier )

14 avril 2012

Relocalisation en France


Sarkozy et les Chinois

5 avril 2012

"Affaires" à suivre


Quinquennat des affaires

Woerth, Bettencourt, Takieddine, Karachi, Courroye, élection de 2007, de Maistre, Françafrique, Balladur 1995, Thierry Gaubert, Karachi, fadettes de journaliste, Nicolas Bazire, appartement de l'île de la Jatte, "république exemplaire" .......


 

30 mars 2012

président des riches


 

5 mars 2012

La politique est une vaste blague

Le ministre des finances allemand joue au Sudoku lors d'un débat sur la Grècehttp://www.dailymotion.com/embed/video/xp6fwk

Casser un pays en imposant des mesures d'austérité devient tellement répétitif et lassant  !

16 février 2012

Par La p'tite Blan (Médiapart)

Par La p'tite Blan (Médiapart)

test

4 avril 2012

La France qui perd


Président des mauvais choix internationaux 1

14 avril 2012

Président de la TVA

 

 

 

 

Président de la TVA

6 mai 2012

Libérés !


Pendant des années, nous avons été méprisés, insultés, pris en otages, jetés les uns contre les autres par les ferments de la division, ballotés de promesses en messages, rejetés par un clan cupide, orgueilleux, sans morale et au-dessus des lois.

Mais ce soir, nous sommes un peuple libéré !


 

6 avril 2012

Un président exceptionnel

 



 «La France et les Français ne méritent pas le président Sarkozy, ils ne se rendent pas compte à quel point il a été exceptionnel dans la crise.»

un militant UMP

il ne faut pas se montrer dans la crise ; il est préférable d'être exceptionnel dans sa vision et ses décisions pour éviter les crises



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